Le sexe ne devrait jamais être une corvée. Au contraire, ils présentent tellement d’avantages, preuves à l’appui! Merci, madame la science pour ces sept raisons de faire l’amour tous les jours.
1. Le sexe vous garde en forme !
La revue scientifique PLOS ONE a publié une étude selon laquelle chez les jeunes, le sexe brûle en moyenne 4,2 calories par minute chez les hommes et 3,1 calories par minute chez la femme. Lors de vos ébats les plus passionnés, vous pouvez perdre jusqu’à 7,1 calories par minute ! Si on fait le calcul, en estimant que vous faites l’amour 2 fois par semaine, pour une vingtaine de minutes, cela fait plus de 6000 calories dépensées chaque année ! Incroyable, non ? Ça vous fait un programme d’exercice bien plus agréable et abordable que n’importe quel gym.
2. Faire l’amour cultive votre jeunesse !
Une étude de l’université d’Oxford révèle que le sexe augmente la production de l’androgène DHEA, un stéroïde naturel, aussi connu comme l’hormone anti-vieillissement !
Lors de rapports sexuels, la DHEA est sécrétée dans le corps, et suite à un orgasme, son niveau dans le sang s’élève jusqu’à cinq fois sa valeur normale. Aussi, les femmes qui font plus souvent l’amour sécrètent un niveau d’oestrogènes plus élevé. Cela fait en sorte que la peau est plus douce et plus éclatante. Un niveau d’oestrogènes plus élevé est aussi synonyme de protection contre les maladies du cœur, l’ostéoporose, et potentiellement, la maladie d’Alzheimer.
3. C’est bon pour le moral !
Une étude réalisée en Écosse a montré que les gens qui avaient plus de sexe, en particulier les femmes, ont une pression artérielle réduite, comparativement à des gens s’étant abstenus de sexe. Ces résultats ont été validés par une étude réalisée à l’Université Brigham Young durant laquelle il a été prouvé exactement la même chose. En plus de cela (jeu de mots), une étude en Australie a également déterminé que les gens qui atteignent le point culminant du plaisir au moins trois fois par semaine ont une chance de 50% plus faible de mourir pour toute raison médicale que ceux qui ne le font pas.